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S'approprier l'histoire, son histoire
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Association Cultures et Connaissance du Monde Arabe

L'ACCMA est soutenue par

Rédouane Zaaraoui

Président

redouanehag@yahoo.fr

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Divine - Jasser Haj Youssef
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Chambord, entre Orient et Occident 

2018

Mercredi 16 mai 2018 à 18h30

Soirée entre Orient et occident : concert-conférence

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Avec Ali Benmakhlouf, philosophe

La conférence sera donnée par Ali Benmakhlouf, agrégé de philosophie, il enseigne la philosophie arabe et la philosophie de la logique à l'Université de Paris Est-Créteil Val-de-Marne tout en étant également présent dans la vie intellectuelle du Maroc par sa participation à des colloques et conférences mensuelles. Il est l'auteur d'ouvrages sur Averroès, Montaigne ainsi que sur des philosophes logiciens. Impliqué dans la vie publique, Ali Benmakhlouf est président du Comité consultatif de déontologie et d’éthique de l'Institut de recherche pour le développement et vice-président du Comité consultatif national d'éthique.

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Deviser et converser: variations sur Montaigne et Lewis Carroll

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  La conversation, bien qu’elle soit à bâtons rompus, n’en est pas moins un jeu réglé. Certains, comme Montaigne, l’ont comparé à un jeu de paume, d’autres, comme Wittgenstein, à un jeu de tennis. Dans les deux cas  il y a les positions symétriques des joueurs que sépare un filet. Dans une conversation, alors même que la « parole appartient moitié à celui qui parle, moitié à celui qui l’écoute », selon l’expression de Montaigne, rien n’est dit sur le ton emprunté, ni sur le rythme des paroles échangées. Celui qui écoute une parole « se doit préparer à la recevoir selon le branle qu’elle prend » : Montaigne encore. Se joue alors dans l’adresse vivante à l’autre un parler prompt et vif qui n’est cependant pas celui de la controverse. Il n’est pas de la nature d’une conversation de dégénérer en esprit partisan. Elle est, avant tout, plaisir et convivialité, une « société de discours ». Elle vaut comme parole communiquée aux effets réels et magnétiques qui font sa seconde moitié: « Il ne me vient pas seulement une gaillarde pensée en l’âme qu’il ne me fâche de l’avoir produite seul, et n’ayant à qui l’offrir », note Montaigne. Pour que les idées soient une fête, il importe de les partager en les communiquant par la parole.

Si nous « tenons les uns aux autres par la parole », c’est bien parce que nous sommes moitié les uns des autres.  La parole, pendant le temps de l’échange, donne une image de la correspondance des parties. Se faire miroir de la société par la parole fut le grand œuvre de Socrate, mais aussi de Montaigne.

Parler au risque du silence, parler pour sauver l’autre, c’est aussi assurer cette fonction vitale de la conversation par laquelle se réalise une forme de réciprocité magnétique.

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Ali Benmakhlouf

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à 19H30

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Conversation par Sébastien Boisseau, Contrebassiste et Naïssam Jalal, flûtes.

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CONVERSER POUR INVENTER

 

"Ce qu’il y a de passionnant dans la musique, c’est qu’elle s’apparente à un langage. On peut la lire, l’écrire, l’écouter, la comprendre, user d’abstraction, de poésie ou faire marcher au pas. Le langage musical est aussi communication, de sens ou d'essences. Les musiciens s’écoutent, jouent ensemble, se parlent et de transmettent des émotions aux autres, même s’ils ne parlent pas la même langue. C’est l’un des grands enseignements du jazz, écouter et réagir, converser pour inventer, créer de nouveaux alliages et de nouvelles résonances à partir d'un accent, d'un dialecte, d'une culture, d’une géographie. Et dans la conversation musicale, l’autre à toute sa place, il peut vous questionner à sa manière, vous embarquer dans son univers, enrichir votre vocabulaire et élargir votre écoute ou votre vision du monde.”  

 

Sébastien Boisseau

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Un encas orient occident préparé par Carole Desnoue sera offert.

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En partenariat avec l’association cultures et connaissance du monde arabe

Plus d'infos sur www.chambord.org

Installé à Nantes où il co-dirige le label Yolk Records, Sébastien Boisseau est devenu en peu de temps un contrebassiste de référence en Europe.

Développant un jeu puissant et élégant, ses références sont ancrées dans le jazz quelque part entre Jean-François Jenny-Clark, Marc Johnson et Scott Lafaro.

De parents syriens, Naïssam Jalal naît à Paris. Elle étudie la flûte traversière classique dès l’âge de 6 ans. À 17 ans elle découvre l’improvisation et quitte le conservatoire après l’obtention du CFEM. La même année, la fanfare funk Tarace Boulba l’entraine en tournée au Mali.

À 19 ans, Naïssam quitte la France en quête de ses racines. Après plusieurs mois d’initiation au nay au Grand Institut de musique arabe de Damas en Syrie, elle étudie au Caire avec le grand maître violoniste Abdu Dagher. En Egypte, elle rencontre Fathi Salama avec qui elle joue dans les théâtres les plus prestigieux et participe à la création des groupes Eldor Elawal et Bakash.

La presse en parle...

Juste avant le départ mercredi après-midi.
© Photo NR

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Mercredi soir, en coopération avec l’association Cultures et connaissances du monde arabe (CCMA), le Domaine national de Chambord proposait une « soirée de conversations », conférence-concert avec pour invités le philosophe Ali Benmakhlouf, le contrebassiste Sébastien Boisseau et la flûtiste Naïssam Jalal (lire NR du 18 mai).
Fort d’un premier projet partenariat réussi avec le Domaine de Chambord en 2017, auquel avaient participé de jeunes Blésois, Rédouane Zaaraoui, président de l'ACCMA, a proposé à l’Espace jeunes Semprun de renouveler l’expérience. C’est ainsi qu’avec le soutien de la Politique de la ville, six étudiants et lycéens se sont rendus à Chambord pour assister à la soirée, conférence et concert suivis d’un en-cas orient-occident. Mais aussi pour une rencontre privilégiée avec le philosophe, les artistes et l’équipe de la programmation culturelle, autour d’un repas privé.
« Emmener des jeunes des quartiers vers une culture différente de ce qu’ils connaissent est un projet qui me tient à cœur, un défi. Je n’en ai pas beaucoup car j’essaie de faire efficace et pointu. Sans doute parce que c’est mon métier » poursuit Rédouane, par ailleurs médiateur culturel à la Halle aux grains. En tout cas, les jeunes volontaires, quatre garçons et deux filles, se sont impliqués dès qu’ils ont eu connaissance du projet. Houari, 20 ans, est étudiant en géographie à la fac de Tours. « J’ai fait de la philo une année au lycée, c’est tout. Mais on a beaucoup échangé avec Rédouane et cela m’a vraiment donné envie d’écouter cette conférence. C’est une sortie pas habituelle, et une belle manière de rencontrer les gens qui travaillent au château. »
Danielle, 18 ans, est en terminale S à Dessaignes. « Le thème de la conversation m’intéresse beaucoup. J’ai regardé pas mal de vidéos sur l’art de parler. Et puis j’adore le jazz. Je suis sûre de ne pas être déçue ! »

Quand les instruments dialoguent.
© Photo NR

 

 

Pour la deuxième année consécutive, le Domaine national de Chambord et l’association blésoise Cultures et connaissance du monde arabe ont offert, mercredi soir, une soirée mêlant réflexion philosophique, plaisir du concert et savoureuse découverte gastronomique.
Le philosophe et professeur Ali Benmakhlouf a présenté les règles et les divers aspects de ce « jeu de balle » qu’est la conversation. Évoquant d’abord Montaigne, suivant son « art de conférer », Ali Benmakhlouf a mis en évidence le plaisir et la convivialité de cette « gymnastique de l’esprit » où prédomine l’idée de partage, soulignant que « nous tenons les uns aux autres par la parole ». Effectuant un détour chez « Alice au pays des merveilles », il a relevé le « plaisir pris aux mots » et incité à « accepter l’aventure de la phrase ».
Ce fut ensuite à une autre aventure que furent conviés les quelque 70 participants. Dans la « salle des illustres », Sébastien Boisseau, contrebassiste, et Naïssam Jalal, à la flûte, ont fait converser leurs instruments au cours de brillantes et sensibles improvisations. Aux appels de la contrebasse, parfois objet de caresses ou utilisée comme un tam-tam, répondaient douceurs ou vivacité aiguë de la flûte.
Le concert fut suivi d’un échange avec le public, l’on proposa des titres et échangea des impressions. Le troisième moment de la soirée, dans la « salle des chasses », permit d’autres découvertes, rencontres de parfums et de saveurs mêlant heureusement cumin, gingembre et cannelle, grâce au talent du traiteur Carole Desnoues.
« La conversation comme manière de vivre », Ali Benmakhlouf, Albin Michel. 245 p, broché, 16,90 euros.

Cours de Oud

Vendredi 18h15 à 20h15

à la Maison de Bégon

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21 avril 2018 à 20h

Concert amateur sous la direction artistique de Jasser Haj Youssef

Dans le cadre des actions d’éducation artistique et culturelle (EAC), le domaine national de Chambord et la Communauté de Communes du Grand Chambord ont fait appel à l'artiste Jasser Haj Youssef en résidence de création à Chambord pour préparer un concert avec plus de 50 amateurs du territoire (flûtistes, choristes et instrumentistes) en collaborations avec leurs enseignants.

Avec Jasser Haj Youssef (viole d'amour), Georges Abdallah (chef de choeur), Marieke Rigterink (flûte), Redouane Zaaraoui (oud)

​L'echo de la forêt, L'ensemble de flûte de la Flûte enchantée et les élèves de la classe de Oud (Maison de Bégon).

Concert dans le cadre de sa résidence de création au Domaine National de Chambord

  • Entrée gratuite dans la limite des places disponibles (sans réservation)

  • Informations : 02 54 50 40 22 / culture@chambord.org

Samedi 12 Mai 2018 - Bus au départ de Blois

Thème 2018 : Le Maroc

Cette année, la Foire de Tours met à l'honneur Le Maroc, magnifique pays au patrimoine culturel époustouflant et aux traditions ancestrales. Un dépaysement assuré au Parc Expo de Tours !

Expositions, démonstrations, concerts, spectacles… le tout aux couleurs du Maroc.

La gastronomie

Mélangeant tradition et convivialité, le Village Gastronomique et le Marché Gourmand de la Foire de Tours vous proposeront des saveurs uniques et sauront satisfaire toutes vos envies gustatives.

Dans le cadre des RDV de l'Histoire 2018 - Puissance des Images

Samedi 13 octobre 2018

Les images dans la civilisation de l'islam : "Art, religion et science en pays d'Islam" (VIIIe-XIXe s.)" par Ahmed Djebbar

Ahmed Djebbar est mathématicien et chercheur en histoire des sciences au sein du laboratoire Paul Painlevé (CNRS), il est spécialisé dans les mathématiques de l'Occident musulman (Espagne musulmane et Maghreb) il est également professuer d'histoire des mathématiques à l'université des sciences et technlogies de Lille.


- A partir des débats qui ont eu lieu sur cette question, à partir du VIIIe siècle 
- De l'opposition d'une partie des théologiens musulmans à la représentation des figures d'êtres vivants (pour éviter le retour au paganisme préislamque).
- Des initiatives des artistes et des mécènes pour contourner les interdits d'une catégorie d'hommes de religion,
La conférence décrit aussi les conséquences de ce débat sur l'apparition d'arts nouveaux, en pays d'Islam, empruntant leurs techniques aux mathématiques, 
Elle montre aussi comment ces arts nouveaux vont se substituer (mais partiellement se! ulement) à l'art de la représentation des images (animaux, hommes) à 2 et à 3 dimensions.
 

Chambord, entre Orient et Occident
2017

Dimanche 5 Mars 2017 - au Château de Chambord

 

16h30 / Conférence - François 1er et Soliman le Magnifique par Guillaume Calafat

Le 4 février 1536, François 1er signe le traité des Capitulations avec le s u l t a n Soliman le
Magnifique. Il offre aux navires battant pavillon français le privilège de commercer avec toutes les
côtes de l'empire turc, ce qui va assurer la prospérité de Marseille. Il confie aussi au roi de France la la protection des Lieux Saints et des chrétiens de l'empire.

Dimanche 5 Mars 2017 -
au Château de Chambord

 

17h15 / Concert Jasser Hajj Youssef
"Resonance"

Violoniste rompu à l'art du maqam, leTunisien Jasser Haj Youssef s'est faitle nouveau héraut de la viole d'amour,un instrument ancien doté de cordessympathiques envoûtantes, que l'on aplus l'habitude d'entendre dans lemilieu baroque occidental que dans lamusique arabe contemporaine
"Chambord, entre Orient et Occident"

18h / En-cas Orient Occident

Jasser Haj Youssef, virtuose de la viole d'amour.

 

 

Riches moments, dimanche dernier, au château de Chambord à l'occasion de l'après-midi oriental organisée par le Domaine national, en partenariat avec le consulat du Maroc et l'Association cultures et connaissance du monde arabe (ACCMA).

C'est d'abord dans une salle des chasses comble que Guillaume Calafat, maître de conférences à l'université Panthéon-Sorbonne, a exposé les relations établies, au XVI esiècle, entre François I eret Soliman le Magnifique. Les premiers contacts furent pris durant la captivité du roi de France, après la défaite de Pavie. François I en cherchant « aide et secours pour sa délivrance», selon les mots du « sultan des sultans» qui lui a prodigué quelques bonnes paroles. « Il n'est pas étonnant que des empereurs soient défaits et deviennent prisonniers. Prenez donc courage, et ne vous laissez pas abattre», écrivait-il au roi François dans un courrier depuis la « capitale de l'empire ». Par la suite, la recherche d'appuis conduira les deux souverains à signer l'alliance franco-ottomane, à échanger des ambassadeurs et à passer des accords commerciaux.
L'après-midi s'est poursuivi dans la salle des Illustres où le musicien Jasser Haj Youssef a enchanté le public par un récital de viole d'amour, instrument à cordes et à archet, proche parente du violon. C'est en exploitant à merveille la sonorité charmante de la viole d'amour que le musicien s'est livré à d'émouvantes improvisations. Il a souligné après le concert combien il était « important de se laisser aller» durant l'exécution des morceaux, alliant avec bonheur références européennes ou orientales. Les auditeurs ont pu ensuite échanger autour d'un délicat buffet dressé par Carole Desnoues.


 

Cor. NR : Alain Hénault

Rachid Benzine présenté par Redouane Zaaraoui.

 

 

La semaine dernière, l'Accma (Association cultures et connaissance du monde arabe : entre Orient et Occident) organisait à la Maison de Bégon une rencontre-débat avec Rachid Benzine, islamologue de renom, autour de son œuvre Nour, pourquoi n'ai-je rien vu venir ?Il s'agit d'un échange épistolaire entre un père éclairé, érudit, et sa fille ayant fait le choix de partir faire le jihad en terre irakienne malgré l'éducation qu'elle a reçue. En préambule, quelques fragments du texte ont été lus par Isabelle Chevalier, comédienne de la compagnie Cru des sens,accompagnée à l'oud par Redouane Zaaraoui, président de l'Accma. Au terme de cette lecture, l'émotion était palpable dans la salle. Après la présentation de l'œuvre par son auteur – point de départ, éclairages historiques, justification du choix d'une écriture-fiction –- s'en est suivi un échange avec la salle, riche, instructif et très éclairant pour des yeux novices. Une occasion pour l'Accma, jeune association blésoise créée en 2014, de rappeler ses objectifs : tenter de montrer à travers différentes actions et manifestations culturelles les liens, les ponts, les relations qui existent ou ont existé entre les mondes occidental et oriental. « A travers cela, il s'agit en définitive de mettre en lumière ce qui nous unit, nous rassemble plus que ce qui nous sépare »souligne Redouane Zaaraoui.

Textes, slam, poésies se sont succédé.
© Photo NR

 

 

Dans le cadre de la Journée mondiale de la langue arabe, l’association Cultures et connaissance du monde arabe, en partenariat avec la Maison de Bégon, a invité le public à venir lire ou dire des textes et poèmes en langue arabe. Accompagnés à l’oud et à la clarinette, les récitants d’origine le plus souvent d’Afrique du Nord, mais aussi du Moyen-Orient, ont fait entendre la langue, sa musicalité, sa poésie. Autour d’un thé et petits gâteaux orientaux offerts par la Maison de Bégon, les spectateurs arabophones ou non se sont déclarés ravis de cette initiative. De son côté Redouane Zaaraoui, président de l’association, souhaiterait reconduire cette animation sous forme de scène ouverte. Un modèle qui pourrait s’appliquer à toutes les langues.

Rencontre Arabo-Andalouse à la Maison de Bégon le 11/01/2018

 

84 élèves hispanisants du lycée Camille-Claudel ont bénéficié d’un concert-rencontre animé par un brillant trio arabo-andalou.

Visiblement, les ateliers suivis jeudi matin par quatre classes de seconde du lycée Camille Claudel ont enthousiasmé les élèves très heureux de pouvoir manipuler les instruments, et de jouer eux-mêmes des percussions. Tous se sont déclarés impressionnés par la voix de Juliette Mantrand, comédienne et chanteuse, qui leur a fait découvrir notamment le chant judéo-espagnol. Une langue utilisée par les juifs espagnols à l’époque d’Al Andalús, et encore parlée aujourd’hui par les juifs Séfarades. Et même si on a pu observer quelques rires gênés au moment de chanter, surtout chez les garçons peu enclins à ce genre d’exercice, chacun s’est appliqué à suivre les instructions données.
“ Un objectif culturel et civique ” Le talent et la pédagogie des musiciens ont fait mouche. Juliette Mantrand, Adhil Mirghani, percussionniste du groupe Sawt el Atlas et actuellement du chanteur Aziz Sahmaoui, et Redouane Zaaraoui (*), professeur de oud à la Maison de Bégon, ont su valoriser et encourager les lycéens. « Nous avons l’habitude en seconde de parler de la période de Al Andalús, quand cohabitaient pacifiquement juifs, chrétiens et musulmans. Ceci afin d’établir des parallèles avec le monde d’aujourd’hui, en Espagne, et ailleurs, dans un objectif culturel et civique », soulignent les quatre professeures d’espagnol à l’origine du projet, en insistant sur la notion du vivre ensemble.
« La musique et le chant sont venus en complément car les élèves n’ont plus l’enseignement de cette matière au lycée. Peut-être le début malgré tout de vocations chez certains… » Une invitation aussi à la découverte de deux territoires à la fois lointains mais si proches l’un de l’autre, l’Andalousie… et les quartiers nord de Blois. La rencontre organisée à la Maison de Bégon, qui avait mis gracieusement ses locaux à disposition, était ainsi l’occasion pour ceux qui résident à l’extérieur de la ville de connaître et situer le secteur habité par bon nombre de leurs camarades. Après un mini-concert rassemblant maîtres et élèves, la matinée s’est clôturée par un moment convivial autour d’un thé à la menthe et de pâtisseries orientales, ou non, apportées par les lycéens.
(*) Redouane Zaaraoui est président de l’association Cultures et connaissance du monde arabe, partenaire de la rencontre.

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